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Pourquoi souscrire à un 3e pilier ?

Pour plusieurs raisons :

· Pour pouvoir se permettre d’aller au restaurant quand vous serez à la retraite et ne pas paniquer quand la personne qui vous accompagne choisit le menu Gourmandise, comprenant un plat au boeuf Wagyu et aux champignons Matsutake.
· Pour économiser des impôts… qui dirait non à ça ?
· Pour ne pas rougir devant votre banquier quand vous lui demanderez d’évaluer votre dossier pour l’achat de votre maison.

Pour plusieurs raisons :

· Pour pouvoir se permettre d’aller au restaurant quand vous serez à la retraite et ne pas paniquer quand la personne qui vous accompagne choisit le menu Gourmandise, comprenant un plat au boeuf Wagyu et aux champignons Matsutake.
· Pour économiser des impôts… qui dirait non à ça ?
· Pour ne pas rougir devant votre banquier quand vous lui demanderez d’évaluer votre dossier pour l’achat de votre maison.

Le 3e pilier et la retraite

Le système de prévoyance suisse est composé de 3 piliers.

· Le 1er pilier : c’est l’AVS (Assurance Vieillesse et Survivant), la partie de votre retraite versée par l’Etat.
· Le 2e pilier : c’est la LPP (Loi sur la Prévoyance Professionnelle), la partie que votre employeur et vous-même avez économisée durant votre carrière professionnelle.

Si tout se passe bien, en cumulant les deux piliers, vous toucherez chaque mois entre 50 et 70% de votre dernier salaire durant votre retraite. Attention… 70%, c’est le meilleur des cas : pour ça, il faut que votre employeur ait été plus généreux que la moyenne et que vous ayez travaillé durant toute votre vie adulte, sans interruption jusqu’à 65 ans pour les hommes et 64 ans pour les femmes.

Alors 50 à 70%, ça peut paraître bien sans travailler.

Peut-être… si vous avez déjà prévu de vivre sur un bateau au milieu de l’océan. Ou dans un pays où le coût de la vie est inférieur à la Suisse. Dans ce cas, le montant pourrait vous suffire.

Mais si votre projet est plutôt de rester vivre ici, diviser par deux votre niveau de vie, c’est plutôt une mauvaise nouvelle.

C’est là qu’intervient votre épargne personnelle

Si les deux premiers piliers sont obligatoires, le 3e pilier est libre. C’est votre apport personnel.

Et puisque le choix vous appartient de le faire ou pas, il est capital de vous inscrire dans une démarche active : vous renseigner, réfléchir, prévoir et si besoin, souscrire à un 3e pilier.

En plus, la Confédération encourageant la prévoyance personnelle, le 3e pilier est accompagné d’avantages intéressants. Voyons-les ensemble.

Le 3e pilier : une belle économie d’impôts

Le montant versé sur votre 3e pilier est déduit de votre revenu imposable. A partir de là, j’ai une bonne et une mauvaise nouvelle.

On commence par laquelle ? Ok, la mauvaise.

Le montant est plafonné. Ce qui paraît normal, sinon toutes vos économies y passeraient et il ne resterait que des miettes pour l’Etat. 

La bonne nouvelle, c’est que ce plafond a tendance à augmenter avec les années.

Il était de 6 768 CHF en 2017 pour un employé et 33 840 CHF pour un indépendant.

En 2022, il est de 6 883 CHF pour un employé et 34 416 CHF pour un indépendant.

Bien sûr, connaître les montants déductibles, c’est bien. Connaître la véritable économie d’impôts, c’est mieux. 

Mais on ne peut pas calculer cette économie comme ça. Elle dépend de votre situation personnelle.

En fonction de votre revenu, de vos déductions, de votre situation familiale ou encore de votre canton et commune de résidence, l‘impact d’un 3e pilier peut être sensiblement différent.

Prévoyez du café, et peut-être un Dafalgan aussi. 

Ou alors contactez-nous et l’un de nos experts fiscaux le fera pour vous, encore mieux.

Le 3e pilier : une épargne précieuse pour vos grands projets immobiliers ou personnels

Quand on doit financer l’achat d’un bien immobilier ou le lancement d’une nouvelle activité professionnelle, on pense au 2e pilier. Plus rarement au 3e. Alors que ce choix peut se révéler encore plus judicieux.

Pour deux raisons :

· Retirer votre 3e pilier vous permet, au mieux de garder votre 2e pilier intact, en tout cas de le grignoter le moins possible. Ce qui en fait plus pour la retraite.
· Il peut faire office de garantie pour la banque (nantissement), qui pourrait être plus encline à vous prêter de l’argent.

En résumé :

· Si vous êtes ou vous caressez le doux rêve de devenir photographe indépendant et que vous souhaitez construire dans le Lavaux, l’ouverture d’un 3e pilier est une nécessité.
· Si vous voulez faire l’un ou l’autre mais pas forcément les deux, l’ouverture d’un 3e pilier est une brillante idée.

Et même si vous ne souhaitez faire ni l'un ni l’autre, ouvrir un 3e pilier vous fera, à coup sûr, économiser des impôts ce qui est, pour tout le monde, plus qu’appréciable.

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Quand ouvrir un 3e pilier ?

Idéalement, le plus rapidement possible.

Comme toute épargne, d’ailleurs.

Cela dit, le meilleur moment est celui où votre situation financière vous permet de mettre un certain montant de côté sans vous priver du reste. 

L’argent que vous placez sur un 3e pilier, vous ne pourrez en bénéficier que plus tard.

Idéalement, le plus rapidement possible.

Comme toute épargne, d’ailleurs.

Cela dit, le meilleur moment est celui où votre situation financière vous permet de mettre un certain montant de côté sans vous priver du reste. 

L’argent que vous placez sur un 3e pilier, vous ne pourrez en bénéficier que plus tard.

Si vous ne pouvez ou ne souhaitez pas pour le moment épargner une partie de vos revenus chaque année alors, inutile d’ouvrir un 3e pilier. Il représentera une source de stress supplémentaire plutôt qu’une épaule dans votre prévoyance.

A noter qu’il n’y a pas de montant minimal. Vous pouvez y ajouter 500 CHF par mois ou 50. C’est vous qui décidez.

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Quel type de 3e pilier choisir ?

Il y a autant de types de 3e pilier que de céréales dans votre supermarché : tout un rayon !

La meilleure option est celle qui vous correspond le mieux. Qui répond le mieux à vos attentes, désirs ainsi qu’à votre situation actuelle.

Cela dit, beaucoup de personnes viennent chez nous parce qu’ils ont ouvert un 3e pilier avec d’autres prestataires et n’en sont pas pleinement satisfaits. Pourquoi ?

Il y a autant de types de 3e pilier que de céréales dans votre supermarché : tout un rayon !

La meilleure option est celle qui vous correspond le mieux. Qui répond le mieux à vos attentes, désirs ainsi qu’à votre situation actuelle.

Cela dit, beaucoup de personnes viennent chez nous parce qu’ils ont ouvert un 3e pilier avec d’autres prestataires et n’en sont pas pleinement satisfaits. Pourquoi ?

Excellente question. Disons qu’il arrive parfois que certains clients ne soient pas pleinement informés ou du moins que certains désavantages aient été quelque peu sous-estimés.

Alors voici une liste d’éléments à prendre en compte à l’ouverture d’un 3e pilier, quel que soit le choix de votre conseiller.

· Le montant que vous allez cotiser : si vous pouvez le changer en cours de route (en cas, par exemple, de réduction ou d’augmentation salariale) ainsi que la fréquence des paiements.
· La durée de cotisation.
· La date du début du contrat.
· Les différents montants assurés (si vous avez choisi d’en assurer).
· Le gestionnaire de fortune chargé de faire fructifier vos avoirs.
· Les valeurs de rachat.
· La possibilité de transformer le contrat en cas de départ à l’étranger
· Les impacts financiers en cas d’arrêt prématuré du contrat

Tous les points sont essentiels. Le dernier est crucial.

L’ouverture de son 3e pilier avec FBKConseils : Comment ça marche ?

services fbk

1. Le premier rendez-vous !

Lors de ce rendez-vous sans engagement, nous pourrons faire connaissance et découvrir vos besoins. Nous vous donnerons également les clés pour déterminer si oui ou non le 3e pilier peut être envisagé et dans quelle direction commencer les recherches de solutions adaptées à votre situation.

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2. Le 2e rendez-vous et les optimisations !

En fonction de vos critères, nous calculerons précisément l’impact fiscal que le 3e pilier aura sur vos impôts et vous présenterons les offres, qui selon nous, sont les plus adaptées. Si aucune ne vous convient, alors on approfondira nos recherches, jusqu’à en trouver une qui corresponde parfaitement à vos besoins et vos envies. Pour pouvoir faire le bon choix, nous trouvons essentiel de pouvoir comparer différents scénarios, différentes institutions, connaître les tenants et aboutissants de son contrat et surtout simuler l’impact fiscal que ce choix aura sur vos finances sur le court, moyen et long terme.

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3. La trouvaille du bon 3e pilier !

Une fois qu’on s’est mis d’accord sur un 3e pilier, on fixe un 3e rendez-vous pour signer votre nouveau contrat. Après, bien entendu, s’être assurés que vous compreniez bien tous les points de ce contrat.

 Combien de temps dure cette procédure ?

Le temps demandé pour cette démarche dépendra forcément du temps de recherche du bon 3e pilier. Donc le plus pertinent est plutôt de parler du temps que la procédure prend à partir du moment où vous savez à quel 3e pilier vous souhaitez souscrire. Une fois la demande envoyée à l’institution financière concernée, il faut environ une à deux semaines pour que votre 3e pilier soit créé et que vous puissiez commencer à cotiser.

Questions souvent posées sur l’ouverture d’un 3e pilier

Le 3e pilier A, c’est celui dont on parle d’habitude quand on parle de 3e pilier. Il y a une limite de cotisation annuelle. Il est déductible du revenu imposable et a pour but la prévoyance retraite. On ne peut le retirer que sous certaines conditions et il sera imposé.

Le 3e pilier B est une sorte d’épargne libre. Il ne possède aucun plafond mais n’est pas déductible (sauf si vous habitez les cantons de Fribourg ou Genève). Il n’a pas forcément pour but la prévoyance retraite et le contrat peut être poursuivi après 65 ans. Son retrait est libre et non imposé.

Aucun montant n’est obligatoire s’il n’est pas mentionné sur le contrat. D’où la nécessité de bien vérifier ce dernier. De base, vous cotisez ce que vous avez décidé d’épargner. En revanche, vous ne pouvez pas cotiser plus de 6 883 CHF par an si vous êtes salarié ou 34 416 CHF si vous êtes indépendant.

Il est possible de suspendre ses cotisations à tout moment.

Non. En revanche, il est possible de le laisser en Suisse jusqu’à votre retraite.

Oui et c’est même conseillé. Comme il existe une grande variété de 3e piliers, il peut être intéressant d’en ouvrir plusieurs pour obtenir différents services et diversifier les risques. 

Ouvrir plusieurs 3e piliers est aussi une bonne idée si vous souhaitez en retirer une partie pour financer un projet personnel ou professionnel mais que vous n’avez pas besoin du tout.

Comme vous ne pouvez le retirer qu’entièrement, quand vous en avez plusieurs, vous retirez la totalité d’un seul 3e pilier, et à côté, il vous reste toujours les autres pour la retraite.